Témoignages

Connaissez vous le Dieu éternel ?

La Bible dit: «Or, la vie éternelle c'est qu'ils te connaissent, toi, le seul vrai Dieu, et celui que tu as envoyé, Jésus-Christ» (Évangile de Jean chapitre 17, verset 3).
Il y a une grande différence entre connaître Dieu et savoir des choses au sujet de Dieu. Le connaître c’est une expérience qui découle d'une relation personnelle, c'est d’avoir été reçu dans sa famille ou d’être né de nouveau. Nous pouvons recueillir des faits dans des livres, dans des sermons et dans la Bible et tous ces renseignements peuvent être entièrement vrais. Il ne faut pas discréditer la lecture ni une bonne compréhension de Jésus et de Dieu. En fait, la Bible dit: «II faut que celui qui s'approche de Dieu croit que Dieu existe, et qu'il est le rémunérateur de ceux qui le cherchent.» (Épître aux Hébreux chapitre 11, verset 6). Mais cette connaissance, qui est purement intellectuelle, ne sauve pas l’âme.
Les témoignages suivants, montrent bien cette distinction:

Sauvé par la grace de Dieu (André Léger)

Le cinquième d'une famille de dix enfants, je suis né dans un petit village appelé Paquetville, situé au nord-est du Nouveau-Brunswick. Mes parents étaient très religieux et j'ai été élevé d'une manière très sévère. Je remercie Dieu aujourd’hui, qu’Ils m'ont fait connaître l'existence du vrai Dieu, et l'histoire de la crucifixion du SeigneurJésus-Christ. J’ai appris très jeune, qu'Il a été cloué sur une croix pour sauver les pécheurs. Mes parents m'avaient aussi appris que j'étais pécheur, mais je croyais que Dieu, à la fin, placerait dans une balance mes bonnes et mes mauvaises oeuvres. Si j'étais chanceux, la balance pencherait sur le bon coté. Je ne savais pas que, selon la parole de Dieu, on peut et on DOIT avoir la certitude du ciel durant cette vie, et que la mort scelle notre destinée pour toujours. Aussi, les prêtres n'encourageaient pas la lecture de la Bible. C'était un livre qu'on ne pouvait pas comprendre, disaient-ils.

Après avoir passé un temps à Montréal afin d'apprendre un métier et avoir rencontré mon épouse, nous sommes revenus habiter mon vllage natal de Paquetville. C’était l’année 1970. Les enfants grandissaient, et nous faisions notre possible pour les élever dans la doctrine traditionnelle lire la suite...

Justifié par la foi (Gérard Bouillon)

C'est un plaisir pour moi de raconter comment le Seigneur m'a sauvé. Un pécheur, je peux vous assurer que j'en étais un. Mais ça m'a pris du temps avant de m'apercevoir que j'étais un pécheur perdu. Ma femme a été sauvée en lisant un Nouveau Testament en 1966. Mais j'ai repoussé la Parole de Dieu. Ne repoussez pas l'évangile car un jour vous le regretterez comme moi je l'ai regretté.

Je me suis mis à boire et je suis devenu alcoolique. En Mars 1983, iI y a eu des réunions d'évangile à St-Gabriel, et Sylvain, un de mes garçons a été converti. Chaque fois qu'un de mes enfants se disait sauvé, je me disais : "En voilà un autre qui a capoté." Certainement, j’étais sur le mauvais chemin, suivant la foule. Les exigences de Dieu, la croix du Seigneur Jésus-Christ et les standards de la vie chrétienne étaient loin d’être les priorités de ma vie. lire la suite...

La Rue YONGE à Toronto (Jack Yocum)

Statistiquement : C’est la plus longue rue du Canada
Historiquement : C’est une des rues les plus anciennes
Commercialement : C’est une des rues les plus riches
Traditionnellement : C’est une des rues les plus mobiles
Moralement : C’est une des rues les plus abusées
Personnellement : C’est la rue la plus bénie au Canada, car sur cette rue, ma vie a été transformée.

Mon histoire commence le 3 juillet 1960 lorsque, un jeune homme agé de 23 ans, j’ai assisté à une réunion d’Évangile en plein air au coin de la rue Yonge et Dundas Square. Huit hommes et femmes ont eu le courage de parler ouvertement pour le Seigneur Jésus Christ et d’accepter les moqueries de la foule. Comme je regardais à l’écart, un plus grand nombre s’est approché et prenait plaisir à insulter les prédicateurs. Je n’avais jamais été religieux, et je me suis plutôt amusé de ce sport. Il devint de plus en plus difficile pour les hommes de prêcher alors le petit groupe de chrétiens chantèrent quelques cantiques. lire la suite...

La conversion de Stenburg de Düsseldorf

Il y a plusieurs années le grand artiste Stenburg avait promis de fournir un tableau de la crucifixion de Christ pour une certaine église. Ce serait un chef-d’œuvre et il serait payé un bon prix pour son travail. Dans les semaines qui suivirent Stenburg fit des recherches sur la mort de Jésus. Il était talentueux, célèbre et riche, mais il n'était pas religieux. Le premier coup de pinceau toucha la toile, puis un autre et un autre. Et la croix se dessinait maintenant sur la colline du Calvaire. Jour après jour le pinceau de Stenburg caressa la toile. Mais un jour il est fatigué et voulait se changer les idées. « Je sortirai dans la campagne pour faire des croquis se dit-il ». C'était au mois de mai et les bocages étaient verts. Au bord de la forêt Stenburg vit une jeune fille bohémienne tresser un panier avec de la paille. Ces cheveux noirs jusqu’à la taille, sa robe rouge fanée et déchirée. Ses yeux étaient noirs, grands et agités. «Voilà qui ferait un grand tableau », pensa Stenburg. lire la suite...